Emplois en banlieue : l’avenir est dans le poisson …et l’avenir des bassins pour la pisciculture est avec le vétiver

Cette initiative de construire des bassins pour pisciculture est à applaudir, mais âpres les cérémonies d’ouverture, ces bien de penser a l’entretien de ces bassins, soit la protection des infrastructures, les mesures de prévente l’ensablement, de éviter le développement des algues vert, et la pollution, qui peut menacer le suces de cette projet.

Le vétiver représente une solution peut coutant a tout ces problèmes, voir notre document ; « Le vétiver comme system de protection et renforcement des bassins de rétention». Il y a beaucoup d’exemples mondiaux de cette utilisation du système vétiver qui fournit la preuve de cette technologie.

Pépinière Naac Baal dispose l’expertise et les plantes de vétiver pour cette travaille de entretien.

Seneweb.com :    Mardi 27 Jui 2010
L’Office national pour l’emploi des jeunes dans la banlieue(Ofejban) et l’Agence nationale d’aquaculture(ANA), ont procédé mardi, à la signature d’un accord visant à développer l’aquaculture dans la banlieue. Une cérémonie de signature d’accord qui a pour objectif « de finaliser et attaquer ensemble les problèmes de la banlieue. Aussi de travailler à lever des fonds pour poursuivre le travail», ont déclaré en chœur les directeurs des deux structures. Il s’agit, selon Boubacar Bâ de l’Ofejban, de créer des emplois en aquaculture, en exploitant les bassins de retention et les lacs artificiels dont dispose la banlieue.


Pour ce programme qui coute environ 4 milliards à l’Etat, le directeur de l’Ojefban révèle que « les populations de la banlieue vont bénéficier de plus de 600 emplois directs et environ 700 emplois indirects, avec le maraîchage, la floriculture, la pisciculture, mais également dans le transport et autres activités secondaires ». Le directeur de l’Agence Nationale d’Aquaculture(ANA), amath Wade souligne qu’ « avec ce programme, l’agence va apporter des emplois aux jeunes, aux femmes particulièrement. Nous allons pouvoir satisfaire la demande en alevins, pour ceux qui désirent faire de l’Aquaculture». L’Ana compte également mettre à la disposition des populations des banlieues du Sénégal, des fermes industrielles, dont le coût global est d’environ 6 milliards de francs.