Traduction de un article de Dick Grimshaw – Président du TVNI
Si des mesures sérieuses ne sont pas prises pour contrôler l'érosion et conserver l'humidité du sol en Afrique, le continent et ses populations sont en face a des catastrophes environnemental à long terme. La plupart de l'Afrique est relativement sec, possède une géologie ‘dur’ est donc très dépendante des cultures pluviales. La plupart de l'Afrique ne dispose pas des ressources en eau que l'Inde ou la Chine, avec l’effet que des projets grande escale d'irrigation son pas rentable.
La question clé est de savoir comment les précipitations de l'Afrique pourraient être mieux exploités et comment réduire la perte de fertilité et dégradation des sols, causées par une forte population rurale et l’impact du changement climatique.
En haut nous voyons des photos de la ferme de Paul Kombo de Voi, au Kenya, qui a largement bénéficié du système de vétiver avec une précipitation de 500 mm annuellement, et qui est le premier fournisseur de plants de vétiver du Kenya.
En Ethiopie, des agriculteurs comme Hassan Ali, appuyé par une ONG, SLUF, ont utilisé le système vétiver de manière significative. Hassan a envoyé ses deux fils à l'Université du produit des rendements de ses cultures renforcée par l vétiver. Une initiative commence depuis prés de 20 ans avec quelque agriculteurs à la province reculée de Illubabor, est maintenant propage au large et loin du pays, utiliser par des dizaines de milliers de agriculteurs. C’est les agriculteurs du secteur privé, les ONG et certains organismes bilatéraux tels que la GTZ, qui sont les principaux promoteurs de la technologie.
En Ethiopie, des agriculteurs comme Hassan Ali, appuyé par une ONG, SLUF, ont utilisé le système vétiver de manière significative. Hassan a envoyé ses deux fils à l'Université du produit des rendements de ses cultures renforcée par l vétiver. Une initiative commence depuis prés de 20 ans avec quelque agriculteurs à la province reculée de Illubabor, est maintenant propage au large et loin du pays, utiliser par des dizaines de milliers de agriculteurs. C’est les agriculteurs du secteur privé, les ONG et certains organismes bilatéraux tels que la GTZ, qui sont les principaux promoteurs de la technologie.
Au Malawi, un programme national d’utilisation de vétiver a été initié par Glenn Allison le responsable d'un projet de l'Union européenne avec l’utilisation de la technologie par beaucoup d'agriculteurs locale.
Ce ne sont que quelques exemples, il ya beaucoup plus en provenance du Cameroun, Tanzanie, Zimbabwe, Zambie, Afrique du Sud, Burkina Faso, le Sénégal, le Mali et Madagascar.
Le système vétiver, nous offre une technologie qui a fait ses preuves, dans une grande diversité de conditions environnementales n Afrique. Il montre son efficacité pour réduire considérablement l'érosion des sols, améliorer la conservation de la pluie et augmenter les rendements agricoles. Ce n'est pas la seule solution, mais il a une grande contribution à faire, et est assez facile à appliquer à faible coût.
Il est temps pour que les gouvernements nationaux à accorder d'attention sérieux au système vétiver - il puissent faire une grande différence pour l'Afrique rurale.
Le système vétiver, nous offre une technologie qui a fait ses preuves, dans une grande diversité de conditions environnementales n Afrique. Il montre son efficacité pour réduire considérablement l'érosion des sols, améliorer la conservation de la pluie et augmenter les rendements agricoles. Ce n'est pas la seule solution, mais il a une grande contribution à faire, et est assez facile à appliquer à faible coût.
Il est temps pour que les gouvernements nationaux à accorder d'attention sérieux au système vétiver - il puissent faire une grande différence pour l'Afrique rurale.
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