APS parle de l'adoption d'un plan ‘régional annuel de contingence de réduction des risques de catastrophes pour Kaolack, Sénégal’. Certains des principaux défis identifiés sont les problèmes de ravinement des sols, d'inondation et des érosions côtières. L'utilisation du Système Vétiver est particulièrement adaptée pour traiter ces questions dans une optique durable, éprouvée et efficace. Son avantage est notamment que le coût de l'efficacité et la pertinence de l'implication de la communauté, car elle ne fournit toute une gamme de prestations aux côtés de son impact correctives.
Il est maintenant temps de mettre de l'utilisation du vétiver sur l'ordre du jour comme un outil important pour lutter contre les problèmes environnementaux et à atténuer les catastrophes naturelles.
De nombreux exemples à travers le monde ont démontré son efficacité (voir l’article sur l’utilisation en Ethiopie). En ces temps de crise économique mondiale, nous devrions rechercher des solutions efficaces à des coûts qui ne reposent pas sur les grands investissements en capital ou les équipes d'experts étrangers coûteux, mais plutôt d'utiliser les ressources, l'expertise et des technologies qui sont disponibles localement.
Il est maintenant temps de mettre de l'utilisation du vétiver sur l'ordre du jour comme un outil important pour lutter contre les problèmes environnementaux et à atténuer les catastrophes naturelles.
De nombreux exemples à travers le monde ont démontré son efficacité (voir l’article sur l’utilisation en Ethiopie). En ces temps de crise économique mondiale, nous devrions rechercher des solutions efficaces à des coûts qui ne reposent pas sur les grands investissements en capital ou les équipes d'experts étrangers coûteux, mais plutôt d'utiliser les ressources, l'expertise et des technologies qui sont disponibles localement.
"Kaolack, 1-er avril 2009 (APS) – Kaolack est la première région du Sénégal à se doter d’un Plan régional annuel de contingence de réduction des risques de catastrophes, à l’issue d’un atelier tenu le week-end dernier, a constaté le correspondant de l’APS.
Selon Amadou Lamine Ndiaye, coordonnateur national du projet d’appui au programme national de prévention, de réduction des risques majeurs et de gestion des catastrophes naturelles, il s’agit d’un document de coordination et de mutualisation des efforts en cas de survenue de catastrophes’’.
L’objectif précisément était ’’d’identifier et de programmer des réponses rapides, appropriées et efficaces à des situations de catastrophes et de crises susceptibles de se produire et de définir des rôles et responsabilités des différentes parties prenantes’’.
Avant l’élaboration du Plan, les participants ont été imprégnés du projet puis à analyser les risques potentiels dans leurs milieux. C’est ainsi que pour la région sont ressortis les problèmes de ravinement des sols spécifique au département de Nioro, d’inondation et d’épidémie de choléra à Kaolack.
Le coordonnateur du projet s’est félicité à cette occasion de l’adhésion des participants à ce plan de contingence et en a salué le processus d’appropriation par les populations. Sur le lien du plan ORSEC avec celui-ci, Amadou Lamine Ndiaye a dit que le premier est un plan d’institutionnalisation du second et que tous deux sont arrimés, complémentaires.
Le Sénégal qui a connu des catastrophes comme l’explosion d’une citerne d’ammoniac à la Sonacos de Bel Air en 1992 avec 30 morts et une centaine de blessés, les incendies de marchés — une trentaine entre 1993 et 2003 —, des inondations, des érosions côtières et des invasions acridiennes en 1988 et 2004, reste toujours exposé à de nombreuses catastrophes.
A défaut de pouvoir éviter ces calamités, les solutions restent, selon des experts, la réduction de leur impact par la prévention, en agissant en amont de ces risques et pour ce faire. La Plateforme nationale de réduction des risques de catastrophes devra aussi s’appuyer sur les dispositifs institutionnels existants tels la Protection civile."
Selon Amadou Lamine Ndiaye, coordonnateur national du projet d’appui au programme national de prévention, de réduction des risques majeurs et de gestion des catastrophes naturelles, il s’agit d’un document de coordination et de mutualisation des efforts en cas de survenue de catastrophes’’.
L’objectif précisément était ’’d’identifier et de programmer des réponses rapides, appropriées et efficaces à des situations de catastrophes et de crises susceptibles de se produire et de définir des rôles et responsabilités des différentes parties prenantes’’.
Avant l’élaboration du Plan, les participants ont été imprégnés du projet puis à analyser les risques potentiels dans leurs milieux. C’est ainsi que pour la région sont ressortis les problèmes de ravinement des sols spécifique au département de Nioro, d’inondation et d’épidémie de choléra à Kaolack.
Le coordonnateur du projet s’est félicité à cette occasion de l’adhésion des participants à ce plan de contingence et en a salué le processus d’appropriation par les populations. Sur le lien du plan ORSEC avec celui-ci, Amadou Lamine Ndiaye a dit que le premier est un plan d’institutionnalisation du second et que tous deux sont arrimés, complémentaires.
Le Sénégal qui a connu des catastrophes comme l’explosion d’une citerne d’ammoniac à la Sonacos de Bel Air en 1992 avec 30 morts et une centaine de blessés, les incendies de marchés — une trentaine entre 1993 et 2003 —, des inondations, des érosions côtières et des invasions acridiennes en 1988 et 2004, reste toujours exposé à de nombreuses catastrophes.
A défaut de pouvoir éviter ces calamités, les solutions restent, selon des experts, la réduction de leur impact par la prévention, en agissant en amont de ces risques et pour ce faire. La Plateforme nationale de réduction des risques de catastrophes devra aussi s’appuyer sur les dispositifs institutionnels existants tels la Protection civile."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire